
L’amitié qui me lie au professeur Jean Le Boulch ainsi qu’à René Essioux me donne la possibilité de retracer le long parcours scientifique et éducatif auquel j’ai activement collaboré. Cet aperçu est limité par la documentation existante. Mon amitié avec ces deux personnes est antérieure à 1986, mais cette année-là a marqué le début d’une collaboration particulière. En mars 1986, l’association italienne des enseignants d’orthophrénie (ASSIO), dont j’étais alors président, organisa avec le professeur Le Boulch un séminaire sur le thème « Corps, Psyché et Mouvement », à l’occasion duquel il accepta de devenir membre honoraire de l’ASSIO.