Le temps qui s’était déjà écoulé nous pressait d’agir au plus vite si nous voulions ouvrir l’École au mois de septembre, comme cela avait été notre intention. J’insistai donc auprès de Jean afin qu’il m’envoyât rapidement la documentation manquante. La pression porta ses fruits et, le 5 avril, je reçus cet important document:
Un jour avant sa disparition, Jean m’envoya l’organisation du programme pour chaque domaine de formation. Un témoignage clair de ses désirs et de sa volonté de maintenir en vie son travail par le biais d’une école de psychomotricité fonctionnelle qui porte son nom et qui continue à former d’autres élèves, par l’intermédiaire des enseignants agréés qu’il avait lui-même nommés.